Saint-Maurice-la-Souterraine

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Saint-Maurice-la-Souterraine
Saint-Maurice-la-Souterraine
Paysage rural de campagne-parc sur la commune.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Creuse
Arrondissement Guéret
Intercommunalité Communauté de communes du Pays Sostranien
Maire
Mandat
Évelyne Augros
2020-2026
Code postal 23300
Code commune 23219
Démographie
Gentilé Saint-Mauriciens, Saint-Mauriciennes
Population
municipale
1 158 hab. (2021 en diminution de 6,08 % par rapport à 2015)
Densité 29 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 12′ 52″ nord, 1° 25′ 51″ est
Altitude Min. 300 m
Max. 422 m
Superficie 39,72 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction La Souterraine
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de La Souterraine
Législatives Circonscription unique
Localisation
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Liens
Site web Mairie de Saint-Maurice-la-Souterraine

Saint-Maurice-la-Souterraine est une commune française située dans le département de la Creuse, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Généralités[modifier | modifier le code]

La Semme près de la Bauche.

Dans le quart nord-ouest du département de la Creuse, la commune de Saint-Maurice-la-Souterraine s'étend sur 39,72 km2. Elle est arrosée au nord, d'est en ouest sur environ sept kilomètres, par la Brame, un affluent de la Gartempe. Au sud, le territoire communal est baigné par la Semme, un autre affluent de la Gartempe, sur environ trois kilomètres, en trois tronçons.

L'altitude minimale avec 300 mètres se trouve localisée à l'extrême sud, en amont du lieu-dit le Moulin du Goutay, là où la Semme quitte le territoire communal et entre sur celui de Fromental. L'altitude maximale avec 422 mètres est située à l'extrême nord-est, au lieu-dit Bois de Margot, en limite de la commune de La Souterraine, au niveau de la route départementale (RD) 73.

Desservi par l'échangeur no 56 de la RN 145 (route Centre-Europe Atlantique (RCEA) en 2 x 2 voies) et à l'intersection des RD 14 et 100, le bourg de Saint-Maurice-la-Souterraine est situé, en distances orthodromiques, cinq kilomètres au sud-ouest du centre-ville de La Souterraine et trente-quatre kilomètres à l'ouest du centre-ville de Guéret, la préfecture.

Le territoire communal est également desservi par les RD 51, 73, 99 et 220.

À l'ouest, la RN 145 croise l'autoroute A20 qui traverse la commune sur trois kilomètres.

Le sud de la commune est traversé en trois tronçons sur près de deux kilomètres par la ligne ferroviaire Paris - Toulouse, dont la gare la plus proche est, à six kilomètres du bourg par la route, celle de La Souterraine.

Entre La Souterraine et Fursac, le GR 654 fait une incursion sur l'est de la commune, sur environ deux kilomètres et demi.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Saint-Maurice-la-Souterraine est limitrophe de cinq autres communes, dont trois dans le département de la Haute-Vienne.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 955 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de La Souterraine à 5 km à vol d'oiseau[4], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 031,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espaces protégés[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[8],[9].

Deux aires protégées concernent le territoire communal : « étang de Vitrat et bois de Bessac »[10] et « lande de la Saumagne »[11], toutes deux gérées par le conservatoire d'espaces naturels Nouvelle-Aquitaine.

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1].

Aucun site Natura 2000 n'a été défini sur la commune[13].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

Près de Petit Bessac, la zone humide où coule la Brame fait partie de la ZNIEFF « étang de Vitrat ».

L'inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

En 2023, deux ZNIEFF sont recensées sur la commune d’après l'INPN[14].

Le site « étang de Vitrat » est une ZNIEFF de type 1[Note 2] située essentiellement dans le nord-ouest du territoire de Saint-Maurice-la-Souterraine, et très partiellement sur celui d'Arnac-la-Poste en Haute-Vienne ; il concerne l'étang de Vitrat proprement dit dans son intégralité, et les vallées de la Brame et d'un de ses petits affluents, ainsi que leurs rives sur une bande de 200 à 700 mètres de large, depuis le nord du lieu-dit la Jarrige jusqu'à l'ouest du lieu-dit Vitrat[15].

Bien que limitée à une superficie d'un kilomètre carré et demi, cette ZNIEFF présente une diversité biologique importante avec 95 espèces animales recensées (deux amphibiens, 37 insectes, deux mammifères et 54 oiseaux), dont onze espèces déterminantes (trois insectes, un mammifère et sept oiseaux), ainsi que 122 espèces végétales (114 phanérogames et huit ptéridophytes) dont une déterminante[16].

Le site « landes de la Saumagne » est également une ZNIEFF de type 1 de 37,73 hectares située entièrement dans le sud-ouest du territoire communal ; il concerne le nord, l'est et le sud-est du lieu-dit la Saumagne[17].

Cette zone relictuelle de landes offre une importante diversité biologique avec 137 espèces animales recensées (dix amphibiens, douze arachnides, 46 insectes, douze mammifères, 53 oiseaux et quatre reptiles), dont huit espèces déterminantes (un amphibien, trois insectes, trois mammifères et un reptile), ainsi que quatorze espèces végétales (douze phanérogames et deux ptéridophytes) dont sept déterminantes[18].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Maurice-la-Souterraine est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[19],[20],[21].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de la Souterraine, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[22],[23].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (85,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (49,7 %), zones agricoles hétérogènes (27,6 %), forêts (10,5 %), terres arables (9,1 %), zones urbanisées (1,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,7 %)[24]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Saint-Maurice-la-Souterraine est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Maurice-la-Souterraine.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 27,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (33,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 693 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 61 sont en aléa moyen ou fort, soit 9 %, à comparer aux 25 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[28].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[25].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[29].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Maurice-la-Souterraine est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[30].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Par décret du , la commune de Saint-Maurice a été renommée en Saint-Maurice-la-Souterraine, pour la différencier d'une autre commune homonyme de la Creuse, devenue à la même date Saint-Maurice-près-Crocq[31].

Le nom de la commune se réfère à Maurice d'Agaune, martyr du début du IVe siècle[32]. La seconde partie du nom marque la proximité avec la ville voisine de La Souterraine.

Histoire[modifier | modifier le code]

Dans les premières années de la Révolution française, la commune de Vitrat-le-Dognon a fusionné avec Saint-Maurice-la-Souterraine[33].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

L'ancienne et la nouvelle mairie en 2022.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mars 1971 juillet 1992[Note 5] Roger Gardet PCF Conseiller général du canton de la Souterraine
(1976-1992)
1992 2001 René Labussière DVG Agriculteur
mars 2001 juillet 2018 Gilbert Tixier DVG Agriculteur retraité
août 2018 mars 2020 Jean-Luc Lagrange DVG  
mars 2020 En cours Évelyne Augros DVD Ingénieur

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35].

En 2021, la commune comptait 1 158 habitants[Note 6], en diminution de 6,08 % par rapport à 2015 (Creuse : −3,87 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 5421 6071 6071 6661 9031 9442 0012 0702 028
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 0261 8901 8331 7281 8941 9271 9961 9711 942
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 9961 9122 0061 6051 5711 5551 5121 3751 275
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 3091 2461 1171 0821 0891 0481 1651 2361 227
2021 - - - - - - - -
1 158--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est plus jeune que celle du département. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,8 %, soit un taux supérieur à la moyenne départementale (25,7 %). Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (28,6 %) est inférieur au taux départemental (38,4 %).

En 2018, la commune comptait 597 hommes pour 624 femmes, soit un taux de 51,11 % de femmes, inférieur au taux départemental (51,47 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 1]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
1,6 
8,0 
75-89 ans
9,8 
19,0 
60-74 ans
17,9 
22,6 
45-59 ans
20,1 
17,2 
30-44 ans
21,3 
13,7 
15-29 ans
12,3 
18,6 
0-14 ans
17,0 
Pyramide des âges du département de la Creuse en 2020 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,3 
90 ou +
3,5 
10,4 
75-89 ans
14,5 
24,5 
60-74 ans
23,5 
21,7 
45-59 ans
20,6 
15 
30-44 ans
13,8 
13,4 
15-29 ans
11,2 
13,7 
0-14 ans
12,8 

Vie locale[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'une école primaire, ainsi que d'un service de garderie et de restauration.

Plusieurs associations culturelles et sportives sont actives sur la commune.

Un stade municipal, un terrain de foot et un terrain de tennis, un plateau d’évolution sont également présents.

Économie[modifier | modifier le code]

L'activité économique diversifiée s’étend de l’agriculture à l’industrie et aux services (parc d’activités de la Croisière).

La commune recense plusieurs commerçants et artisans : agence postale, boulangerie, coiffeur, restaurant, garage, etc. Un magasin de matériaux Big Mat se trouve en sortie de village.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Redécouverte en 1988, la nécropole gallo-romaine de la Betoulle a révélé la présence de cinq sépultures de la fin du IIe , début du IIIe siècle[38].
  • L'église Saint-Maurice, dédiée à Maurice d'Agaune, est inscrite au titre des monuments historiques en 1969[39]. Datant probablement du XIIe ou XIIIe siècle, son mauvais état signalé au XVIIIe siècle a nécessité des travaux aux XIXe et XXe siècles sans pour autant permettre une ouverture au culte sécurisée[40].
  • Le manoir de la Maison-Rouge est une ancienne demeure du XVIe siècle remaniée au XIXe siècle. Le fief autrefois appelé Chabannes-Bertrand est mentionné dès 1406. Il a longtemps appartenu à la famille Mondin.
  • Le manoir du Quéroy est l'ancien domaine des Blanchard de Maffe. On en retrouva la trace dès le XVe siècle.
  • La grotte de la Croisière, qui doit son nom au hameau voisin, a révélé quelques restes préhistoriques d'une occupation humaine au Néolithique[41],[42],[43].
  • La statue du monument aux morts est le Poilu au repos, réalisée par Étienne Camus.
  • Devant l'ancienne mairie, une statue inaugurée en 1906 commémore les volontaires de 1795, 1830, 1874 et 1871, défenseurs de la République.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • François-Xavier Mondin de La Maison-Rouge (1706-1787), dernier abbé général de l'Ordre de Grandmont.

Galerie de photos[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[12].
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Décédé en fonctions.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sites[modifier | modifier le code]

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Saint-Maurice-la-Souterraine et La Souterraine », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « La Souterraine » (commune de La Souterraine) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « La Souterraine » (commune de La Souterraine) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
  9. « Liste des espaces protégés sur la commune de Saint-Maurice-la-Souterraine », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. FR4505736 - Étang de Vitrat et bois de Bessac, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  11. FR4505730 - Lande de la Saumagne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  12. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  13. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-Maurice-la-Souterraine », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Maurice-la-Souterraine », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « Carte de la ZNIEFF « étang de Vitrat » (en vert foncé) » sur Géoportail., consulté le .
  16. [PDF] Espaces Naturels du Limousin, Chabrol, Étang de Vitrat - (Identifiant national 740008132), INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  17. « Carte de la ZNIEFF « landes de la Saumagne » (en vert foncé) » sur Géoportail., consulté le .
  18. [PDF] Olivier Nawrot (CBNMC), Ellen Le Roy (LNE) et David Naudon (LNE), Landes de la Saumagne - (Identifiant national 740120241), INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  19. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  21. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  25. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Maurice-la-Souterraine », sur Géorisques (consulté le ).
  26. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  27. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  28. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Maurice-la-Souterraine », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  29. « Dossier départemental des risques majeurs de la Creuse », sur creuse.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  30. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  31. « Changements de noms de communes », Journal officiel de la République française,‎ , p. 5869 (lire en ligne, consulté le ).
  32. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 617.
  33. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Creuse (23) », (consulté le ).
  38. Jacques Roger, « La nécropole gallo-romaine de la Betoulle (Saint-Maurice-La-Souterraine) », Aquitania, 1995, tome 13, p. 155-175, sur Persée
  39. « Église Saint-Maurice », notice no PA00100177, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le .
  40. « Église paroissiale Saint-Maurice », notice no IA23000189, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le .
  41. Roger Crédot et Michel Dominique, « La grotte de la Croisière, commune de Saint-Maurice-la-Souterraine (Creuse) », MSSNAC, 1967, t. 36, p. 279-285.
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  43. Max Vauthey et Paul Vauthey. Revue des sociétés savantes.. In: Revue archéologique du Centre, tome 7, fascicule 4, 1968. p. 348. Lire en ligne, consulté le .